Monsieur Free a révolutionné le monde de l’entreprise dès 1987, alors qu’il n’avait que 9 ans, en lançant le concept de « Lo-Fi Management ».
Son principe est simple : que chacun apporte sa guitare, son synthétiseur Bontempi ou son triangle, et enregistre avec les cadres intermédiaires, l’équipe de direction et l’ensemble des salariés des chansons sur le thème de la comptabilité analytique.
Le concept fait fureur : en 4 mois le PIB de la France gagne 38 points. Hélas, à la même époque, Sebadoh perce aux Etats-Unis, et le Lo-Fi Management à la française en prend un sérieux coup dans l’aile.
Qu’à cela ne tienne, Monsieur Free est un homme de défi, il vend l’ensemble de ses actions à des courtiers de Clearstream et s’éloigne quelques années aux Bahamas. C’est au contact des pêcheurs de Grand Bahama Island que Monsieur Free développe une nouvelle philosophie du management musical, que les plus éminents spécialistes des arts premiers (à commencer par président Chirac) nomment le « Lo-Concept Art ».
Rapidement, les journalistes se rendent compte que ce concept n’est qu’une piteuse resucée du Lo-Fi Management, et Monsieur Free s’exile alors à Rennes, où il coule depuis des jours paisibles avec sa compagne et son fils.
Monsieur Free aime les frites. Monsieur Free vous aime.
Son principe est simple : que chacun apporte sa guitare, son synthétiseur Bontempi ou son triangle, et enregistre avec les cadres intermédiaires, l’équipe de direction et l’ensemble des salariés des chansons sur le thème de la comptabilité analytique.
Le concept fait fureur : en 4 mois le PIB de la France gagne 38 points. Hélas, à la même époque, Sebadoh perce aux Etats-Unis, et le Lo-Fi Management à la française en prend un sérieux coup dans l’aile.
Qu’à cela ne tienne, Monsieur Free est un homme de défi, il vend l’ensemble de ses actions à des courtiers de Clearstream et s’éloigne quelques années aux Bahamas. C’est au contact des pêcheurs de Grand Bahama Island que Monsieur Free développe une nouvelle philosophie du management musical, que les plus éminents spécialistes des arts premiers (à commencer par président Chirac) nomment le « Lo-Concept Art ».
Rapidement, les journalistes se rendent compte que ce concept n’est qu’une piteuse resucée du Lo-Fi Management, et Monsieur Free s’exile alors à Rennes, où il coule depuis des jours paisibles avec sa compagne et son fils.
Monsieur Free aime les frites. Monsieur Free vous aime.
Monsieur Free
Drawing by Monsieur Free
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