L'indispensable et imprévisible Gérald De Oliviera (le "mélanchoniste
égorgeur de poules") nous gratifie encore d'une de ses inénarrables chroniques :
Messieurs Arnaud et Jorge. Rien ne semble devoir vous arrêter. Aprés
avoir trainé les saintes écritures dans une flaque d’hydromel, vous
voilà dans un instinct primaire (jeu de mot) dans la peau de gens
totalement
irresponsables, alors même que le meilleur d’entre nous semble devoir se
débattre avec une presse de caniveau. Vous pourfendez la politique,
alors que celle ci cherche à illuminer nos vies. Que vous chatiez avec
bonheur une certaine idée de la chanson française datant du milieu des
années 80’s qui semble être le nouveau filon (et non Fillon…..jeu
d’écriture) d’une scéne française sans désir, je suis en accord avec
vous, même si le colonel de la croisière s’amuse avait quand même du sex
appeal.
Je remarque qu’avec vous tout le monde en perd la face, vous
octroyant de tomber ici pile (le jeu de mot est une des activités
préférés que j’exerce avec le syndicat des assistants parlementaires
familiaux) pour délivrer votre message sans nuance.
Vous ne l’emporterez pas au paradis, et encore moins dans l’isoloir.
Cette chronique est exceptionnellement publié sur ce webzine,
officine gauchiste à tendance libertaire, tenu par un mélanchoniste
égorgeur de poules.
Signé : Gilbert Connard, président du fan club de Bruno Retailleau.
=> lien vers l'article sur le Webzine À Découvrir Absolument.
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